Des mois et des mois à affronter le brouillard,
L'impression d'avoir fermé les yeux si longtemps,
Je trainais péniblement mon ombre sans même un regard,
Juste avancer sans savoir pourquoi, juste un présent.
Et voilà que mon ombre me dépasse,
C'est elle maintenant qui me guide vers demain,
Elle me fait peur...passent les jours...j'ose l'affronter,
Pour être sûre qu'elle prend le bon chemin.
Les yeux dans les yeux, frissonnante d'émotion, je m'aperçois,
Que nous ne sommes qu'une seule personne, mon ombre et moi,
Que le brouillard devient brume...et même un rayon de soleil,
Me réchauffe le visage...doucement... je m'éveille.
Je me rapproche de plus en plus de moi,
Avec mes doutes...mes angoisses...,Tout à la fois,
Je m'aventure même à me regarder,
Peu à peu, tel que je suis, je parviens presque à m'accepter.
Le regard parfaitement lucide, rien n'est facile,
Le temps est parfois capricieux,
Et je sais, je suis encore fragile,
Mais j'entrevois un dessin curieusemement merveilleux.
A l'horizon de mon coeur, je suis presque moi,
A l'horizon de mon coeur, ta silhouette est souvent là,
Mon ombre et moi, aujourd'hui c'est moi....,
"Eh...dis-moi...où on va....?" "Vers l'horizon là-bas..."
Ecrit dans la nuit du 13 au 14 octobre
L'impression d'avoir fermé les yeux si longtemps,
Je trainais péniblement mon ombre sans même un regard,
Juste avancer sans savoir pourquoi, juste un présent.
Et voilà que mon ombre me dépasse,
C'est elle maintenant qui me guide vers demain,
Elle me fait peur...passent les jours...j'ose l'affronter,
Pour être sûre qu'elle prend le bon chemin.
Les yeux dans les yeux, frissonnante d'émotion, je m'aperçois,
Que nous ne sommes qu'une seule personne, mon ombre et moi,
Que le brouillard devient brume...et même un rayon de soleil,
Me réchauffe le visage...doucement... je m'éveille.
Je me rapproche de plus en plus de moi,
Avec mes doutes...mes angoisses...,Tout à la fois,
Je m'aventure même à me regarder,
Peu à peu, tel que je suis, je parviens presque à m'accepter.
Le regard parfaitement lucide, rien n'est facile,
Le temps est parfois capricieux,
Et je sais, je suis encore fragile,
Mais j'entrevois un dessin curieusemement merveilleux.
A l'horizon de mon coeur, je suis presque moi,
A l'horizon de mon coeur, ta silhouette est souvent là,
Mon ombre et moi, aujourd'hui c'est moi....,
"Eh...dis-moi...où on va....?" "Vers l'horizon là-bas..."
Ecrit dans la nuit du 13 au 14 octobre
