Moi, colibris Saphir, des montagnes verdoyantes,
Au ramage arc-en-ciel; plumage chatoyant,
M’envole chaque matin, au soleil levant,
M’endors chaque soir, au creux d’une rose larmoyante.
Moi colibri, éternel amoureux de cette flore colorée,
Plonge mon fin bec busqué,
Au cœur d’une fleur de coquelicot violacée,
M’enivrant du doux nectar de son pollen sucré.
Repu de mon succulent festin,
Je m’envole dans les cieux incertains,
Seul maître de mon destin.
Espérant trouver un jours, ma dulcinée,
Et ainsi mon amour pouvoir lui chanter,
Tout deux sur une branche posés.
Au ramage arc-en-ciel; plumage chatoyant,
M’envole chaque matin, au soleil levant,
M’endors chaque soir, au creux d’une rose larmoyante.
Moi colibri, éternel amoureux de cette flore colorée,
Plonge mon fin bec busqué,
Au cœur d’une fleur de coquelicot violacée,
M’enivrant du doux nectar de son pollen sucré.
Repu de mon succulent festin,
Je m’envole dans les cieux incertains,
Seul maître de mon destin.
Espérant trouver un jours, ma dulcinée,
Et ainsi mon amour pouvoir lui chanter,
Tout deux sur une branche posés.